Un
jour, une toile de Claude HESTIN représentant JOHNNY et
ELVIS a été acquise par Phil, un grand fan belge des
deux idoles.
Voir
cette toile :
Phil
était heureux de son acquisition et il a décidé d'envoyer
une photo de cette toile à JOHNNY, et ce, sans aucune
arrière pensée et sans rien attendre en retour,
simplement pour exprimer sa joie de posséder une telle
toile et, sans trop y croire, pour la lui faire connaître.
Aussi, quelle ne fut pas sa surprise de recevoir en retour
la photo envoyée sur laquelle JOHNNY avait pris la peine
d'apposer cette dédicace : "à Philippe
Amitiés" suivie de sa signature.
Aussitôt, Phil a fait part, à qui voulait l'entendre, de
la réception de cette dédicace qu'il n'attendait pas.
Quand Claude a appris que, non seulement JOHNNY n' avait pas
traité la photo de sa toile avec indifférence, mais qu'il
y avait porté assez d'attention pour prendre de son temps
pour la dédicacer et la retourner à Phil, il en a été
touché et je crois pouvoir dire très fier.
Claude a tout de suite décidé de lui prouver sa
reconnaissance pour l'intérêt qu'il avait porté à son
travail, il a dit : "Je vais composer une toile
originale que je vais offrir à JOHNNY, je ne sais pas ce
qu'il en fera, mais je dois le faire pour le remercier".
Voir
cette toile :
Seulement
voilà, comment la lui faire parvenir ?
C'est là qu'intervient Jolo qui, renseignements pris
auprès du fan- club officiel de JOHNNY, a obtenu une
adresse "fiable" à laquelle adresser la toile.
La toile est expédiée de sorte qu'elle parvienne à JOHNNY
juste avant le 15 Juin 2002 pour son anniversaire, mais la
recevra - t'il ?
Ayant laissé passer quelques jours, le 20 Juin, j'appelle
le fan-club pour essayer d'avoir des informations, c'est
alors que j'apprends que, non seulement la toile a bien
été remise en main propre à JOHNNY, mais de plus, il a
beaucoup apprécié le travail de Claude. Il aime le style
de ses toiles, en résumé, il m'a été dit que la
réaction de JOHNNY devant la toile de Claude avait été
très positive !
Le talent de Claude reconnu par JOHNNY, je vous laisse
imaginer sa fierté...